Fautes d'ortho

[max.segal]

j'ai corrigé la fin de la première histoire :


- laisse moi finir! Cette légende dit que ce bouquin a été envoyé sur terre il y a un moment de ça. C’est une chronique sur notre monde. On dit que celui qui remonte la montre a gousset planqué dedans ouvre un portail. Par contre, le lecteur se voit octroyée d'une malédiction.
Elle prit un canif, et elle trancha le t-shirt de Carol le long de la colonne vertébrale.
"Tu disais que tu violais pas les petit enfant?"
- juge par toi même!
Elle prit un miroir et le mit dans le dos de la maudite. elle lui tendit un autre petit miroir pour que le reflet du 1er de reflète a son tour sur le 2ème.

Carol avait un tatouage énorme, surplombée par une montre a gousset géante, incrustée dans le dos.






Pour la l'histoire en deux parties, je n'ai corrigé que le début je crois :

Mana n'avait jamais été particulièrement malchanceuse. Elle avait toujours été protégée par sa mère qui lui portait tout l'amour nécessaire, même si ce fut un peu trop. Elle n'avait apprit que ce qu'elle pouvait, à défaut de pouvoir chercher par elle-même. Malgré cela,elle était assez cultivée, savait jouer du piano,de la harpe,de la flûte,du violoncelle,de la guitare et de l'accordéon, savait danser la valse, le tango, la samba, faisait régulièrement de la danse classique, savait parler Allemand, anglais, russe, français et apprenait le chinois. La liste serait encore longue, alors nous abrègerons en disant: tout cela allait changer.

Un beau jour d'Octobre,dans la quatorzième année de la vie de la jeune fille, un invité vint dans la maison à Londres-oserons-nous rappeler que la mère de Mana voyageait beaucoup,étant femme d'affaires, et de ce fait avait des habitations un peu partout dans le monde. Ce n'était pas un inconnu; ce n'était pas un étranger. Cet homme était William H. Conrad, troisième du nom.
C'était un trentenaire, plutôt bel homme, Docteur dans un hôpital réputé de New-York. Il avait rencontré la mère de Mana quand celle-ci avait été à nouveau enceinte. Il l'avait aimé, elle aussi, mais aujourd'hui ils se tenaient à une relation amicale...

Tout ceci étant, William entrait dans l'appartement. Mana vint le voir:
<<Bonjours Monsieur!!!Vous cherchez quelqu'un?
- Hum...Je...Ta mère est là?
-Elle est au travail, mais elle va bientôt revenir!!!
-Hum...Je vois. Merci. >>
Un blanc se fit entendre. Cela commença à peser et Mana brisa le silence.
<<Heu...Monsieur, vous voulez vous asseoir?
-Heu...Je ne sais pas .Hum et appelle-moi William, je t'en prie.
-William? Hum!!>>
Mana fit un grand sourire comme elle seule savait en faire, puis elle lui prit la main et l'emmena dans le salon. Elle le fit s'asseoir sur une chaise puis fuie vers sa chambre.

Une heure plus tard, Will se leva. Il n'avait osé bougé jusque là, mais il commençait à être enquiller. Il fit un rapide tour de la pièce et alors qu'il commençait à examiner une petite figurine en bois, il entendit un bruit au niveau de l'entrée. Celle qu'il attendait était de retour. Mais la fille le devança:
<<Mutti, Mutti!!!!!!Monsieur William t'attend là bas!!
-Ah? Je vais voir...>>
Mana vit sa mère s'éloigner vers le Docteur, puis, ne voulant être indiscrète, alla vers sa chambre un peu tristement. Elle aurait bien voulue faire une partie de carte avec sa mère ; Mais ce n'était pas dans les priorités.


~> Partie 2

L'adolescence est une grande partie de la vie chez un être humain. Il passe du statut d'enfant à adulte. Cela fait beaucoup de changements, que ce soit dans la tête ou dans le corps. On se rend compte que, bientôt, on va contrôler sa vie, on va grandir et comprendre certaines choses des grands, on va avoir un métier, gagner de l'argent... Mais en même temps, être enfant, c'est une situation confortable ; on n'a à ce soucier que de quelques choses, les grandes personnes s'occupent des besoins vitaux. Mais justement, un jour, ce sera vous la grande personne.
Mais revenons à notre adolescent. Certains jouent l'honnêteté en ne faisant pas de faux semblant; mais d'autres font les adultes -qu'ils ne sont pas-. Ils fument, ils boivent, ils se grandissent avant l'heure et nous pouvons comprendre cet agissement. Mais une chose qui pourrait frapper plus qu'autre chose, c'est l'amour. Période où, on 'sort' avec quelqu'un. C'est une sorte de jeu. Il peut aussi y avoir certains cas où, sous la pression d'une trop grande charge d'amour du côté des parents, on va montrer son changement grâce à cela. Ou en étant avec quelqu'un de beaucoup plus grand.


Ses paupières se levèrent lourdement. 11h15. Mana avait mal dormit cette nuit. Elle poussa sa couette moair, attacha en deux grandes couettes ses longs cheveux or ondulés puis alla dans la cuisine manger quelque chose. Sa mère n'était déjà plus là. Le Dr. Conrad non plus. Il y avait juste un mot:
<<Liebe, je t'ai laissé dormir ce matin. J'essayerai d'être là ce midi, mais j'ai beaucoup de rendez-vous aujourd'hui. Sans ça, tu peux commander quelque chose si tu n'as pas envie de cuisiner -L'argent est sur le buffet-. Je t'aime fort fort fort ♥ Mutti qui t'aime plus que tout ♥♥♥ P.S:n'ouvre pas aux gens louches et raccroche au téléphone si c'est un call center. Et évites de sortir dehors!! Love ♥>>
Un petit dessin accompagnait le tout. Mana était habitué à ce genre de cas et cherchait déjà dans l'annuaire le numéro du restaurant Asiatique qui livrait à domicile. Ce midi, ça allait être sushis. Sans sa mère. Seule. Mais elle avait l'habitude. Tout du moins, c'est ce qu'elle se disait...

5h30 du matin. Une musique des Rolling Stones emplit la pièce, venant d'un Blackberry. Conrad ouvra directement les yeux, éteint le mobile, se gratta le torse sous son T-shirt et alla vers la cuisine. Après avoir prit son café matinal et avoir enfilé un jogging, il partit au petit matin faire un court footing.
7h. Retour à la maison, douche rapide, prise de glucose -Un donut ce matin-. Puis aller vers l'hôpital.
C'était une grande bâtisse blanche avec des baies vitrées. Le genre d'hôpital Américain comme on peut en voir dans les séries télévisées,très propre, avec tout un corps hospitalier en blouse blanche et des couloirs avec un débit de passage élevé. Ce matin, William devait s'occuper d'une petite patiente qui avait un fort accent Allemand. Elle avait simplement un apport en glucose et en graisse trop important. Mais ces quelques références lui donnèrent l'image de Mana. Il avait dû partir le lendemain après sa visite -retour de vacances-.
Une sonnerie Beatles le fit revenir à la réalité.
Il avait des personnes à soigner.